Son existence offcielle date du 28 décembre 2016.
De 164 à 742 tonnes de poisson d’eau douce. C’est la transition chiffrée à opérer. Comme à Massoumbou, le Programme Agropoles se donne les moyens d’en fnir avec la pénurie d’alevins et d’aliments. Par conséquent, des étangs et des stations d’alevinage sont inscrits dans le document de projet. En plus, le transport de 742 tonnes de poisson s’impose. Le Programme a marqué son accord quant à l’acquisition des moyens de transport.
Un investissement considérable
165 étangs piscicoles de 300 m moins ! C’est sans compter les 4 bassins hors- sol. Un hangar y sortira de terre. Il sera de 300 2 chacun, pas m2. Les ménagères y trouveront du poisson à la fois frais et congelé. Lequel sera sorti de la chambre froide à construire et à équiper.Même la glace ne sera pas achetée. Toute une fabrique est prévue.
Mais La conservation du poisson ne se fera pas toujours dans la glace. L’acquisition de 6 fumoirs améliorés compte parmi les clauses du cahier de charges. 6 écloseries modernes sont dans le plan fnancier. 9 bacs de géniteurs en béton armé sont programmés. C’est un projet de 30 bacs d’alevinage et d’autant d’espaces de pré-grossissement de poisson. Quant aux bacs de stockage, ils seront 41 ; tous en béton armé comme les autres constructions. 42 magasins, à construire sur 30 m2 chacun, permettront de conserver les intrants et le matériel. 3 bâtiments de « provenderie » de 150 à 200 m2 chacun s’avèreront indispensables à la production de l’aliment. Un tel ensemble d’investissements attire les voleurs de poisson. Pour prévenir les fuites dans le bilan comptable, une barrière de sécurité d’un linéaire de plus de 12 kilomètres sera construite.