L’École pratique d’agriculture de Binguela (EPAB) dans le département de la Mefou-et-Akono/région du Centre a abrité la cérémonie de fin de formation de seize (16) tractoristes le 13 mai 2016.
Des trous creusés au tracteur. Le tractoriste prend ainsi à défaut les témoins. Lesquels s’attendaient à des exercices de labours. L’action dure à peine une minute. C’est grâce à un attelage spécial en forme de visse géante. Un vrombissement soutenable du 75 chevaux accompagne la sorte de tire-bouchons démesurée dans son aventure offensive bien en profondeur dans la terre arable.
Le sol, soudain béant, est disposé à accueillir un rejeton de bananier-plantain ou des plans de cacaoyer et de palmier à huile. La performance de la mécanique agricole progresse au rythme de 60 fosses en autant de minutes. Or, la main humaine aurait exigé une journée d’ardeur au travail à l’effet d’espérer tutoyer un tel résultat. La machine apporte deux contributions précieuses. La première concerne l’économie du temps. La seconde est relative à un déploiement de vastes espaces.
Les tractoristes promus sont de deux ordres. Il y a, d’un côté, les conducteurs de tracteurs. De l’autre, ce sont leurs cadets professionnels, les aides-conducteurs. Tous ont séjourné à Binguela pendant deux mois sans interruptions.
Des trous creusés au tracteur. Le tractoriste prend ainsi à défaut les témoins. Lesquels s’attendaient à des exercices de labours. L’action dure à peine une minute. C’est grâce à un attelage spécial en forme de visse géante. Un vrombissement soutenable du 75 chevaux accompagne la sorte de tire-bouchons démesurée dans son aventure offensive bien en profondeur dans la terre arable.
Le sol, soudain béant, est disposé à accueillir un rejeton de bananier-plantain ou des plans de cacaoyer et de palmier à huile. La performance de la mécanique agricole progresse au rythme de 60 fosses en autant de minutes. Or, la main humaine aurait exigé une journée d’ardeur au travail à l’effet d’espérer tutoyer un tel résultat. La machine apporte deux contributions précieuses. La première concerne l’économie du temps. La seconde est relative à un déploiement de vastes espaces.
Les tractoristes promus sont de deux ordres. Il y a, d’un côté, les conducteurs de tracteurs. De l’autre, ce sont leurs cadets professionnels, les aides-conducteurs. Tous ont séjourné à Binguela pendant deux mois sans interruptions.
Ils ont transgressé l’interdit du travail des dimanches et jours fériés dans le but d’affûter leurs armes. Cette démarche leur a permis de rattraper l’écart avec les formations ordinaires de la même nature. Elles durent six mois en général. L’École l’assure, la concentration des enseignements en deux mois n’a pas produit une formation au rabais. D’ailleurs, leur sens de la maîtrise des tracteurs le démontre à loisir. Les exercices de démonstration ont permis de les jauger en termes de connaissance du tracteur, de conduite et maîtrise des règles d’exploitation, d’entretien et d’attelage et réglage des outils agricoles. L’examen pratique en public a donné de témoigner de la qualité des labours, des pulvérisages et des semis.
Il s’agit d’une formation financée par le Programme Agropoles à plus de sept millions de francs CFA. Elle rentre dans le cadre du renforcement des capacités des personnels des agropoles. Dans le cas d’espèce, 8 lauréats proviennent de l’Agropole de production, de transformation et de commercialisation du maïs de Nganke-Kaïgama à Bertoua et l’autre moitié est en service à l’Agropole de production, de transformation et de commercialisation du manioc de Batouri, tous les deux dans la région de l’Est et bénéficiaires de tracteurs via le Programme Agropoles. De l’avis des promoteurs des deux agropoles en question, la formation finissante permettra de réussir les campagnes agricoles en cours et bien au-delà.
Il s’agit d’une formation financée par le Programme Agropoles à plus de sept millions de francs CFA. Elle rentre dans le cadre du renforcement des capacités des personnels des agropoles. Dans le cas d’espèce, 8 lauréats proviennent de l’Agropole de production, de transformation et de commercialisation du maïs de Nganke-Kaïgama à Bertoua et l’autre moitié est en service à l’Agropole de production, de transformation et de commercialisation du manioc de Batouri, tous les deux dans la région de l’Est et bénéficiaires de tracteurs via le Programme Agropoles. De l’avis des promoteurs des deux agropoles en question, la formation finissante permettra de réussir les campagnes agricoles en cours et bien au-delà.