L’Agropole de production et de commercialisation de poisson d’eau douce du Dja-et-Lobo arrache la responsabilité la plus lourde. Il s’agit de produire 6.600 tonnes d’aliments par an. L’espoir y est permis. L’acquisition des équipements et autres machines est déjà effective. C’est un transfert de la technologie chinoise. L’Agropole de production et de commercialisation de poisson d’eau douce de Wouri-Bwelè-Bakoko, quant à lui, a sollicité l’expertise israélienne. Il compte passer la commande des équipements dans des brefs
délais. Au sujet de L’Agropole de production et de commercialisation de poisson d’eau douce du Fako, ses produits ont longtemps permis au reste du pays d’être opérationnel. Mais les quantités n’enrayent pas les retards de livraison à cause de la forte demande. 3.000 tonnes d’aliments ne sauraient satisfaire une nation. La promesse de production du Programme Agropoles trouvera son complément auprès de la Mvila, 1.800 tonnes, et le Yaoundé, 500 tonnes. L’objectif de production global est de 3.000 tonnes.